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Enrique Iglesias

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Biographie de Enrique Iglesias

enrique-iglesiasChez les Iglesias, on est séducteur de père en fils ! Quand le paternel s’appelle Julio, qu’il a vendu des millions de disques et charmé à peu près autant de femmes, le challenge est cependant difficile à relever…

Pour autant, Enrique n’en vise pas moins, comme son illustre père, la gent féminine. Il dispose a priori des mêmes atouts: un charisme certain, un physique de latin lover, une gueule d’ange ! Bref, Iglesias Jr ne peut pas laisser insensible…

Miami

Né à Madrid le 8 mai 1975, il suit sa famille à Miami sept ans plus tard. C’est là bas, à l’âge de vingt ans qu’il entame sa carrière musicale.

Il commet plusieurs albums de chansons espagnoles avant de s’attaquer en 1999 au marché anglo-saxon du disque. Fruit d’un long travail d’écriture et de composition, son album Enrique se vend à plus de six millions d’exemplaires dans le monde. La machine est lancée et la relève semble assurée !

Chantant aussi bien en anglais qu’en espagnol, il est récompensé par une multitude de trophées: Grammy Awards, American Music Awards, World Music Awards…

Bailamos

Enrique Iglesias s’impose sur la scène internationale à un moment où la musique latine est en plein boom, grâce également à des artistes comme Ricky Martin.

Les singles Bailamos et Rhythm Divine lui permettent de vendre des millions de disques et de se faire définitivement un prénom.

Il participe par ailleurs à la musique du film Wild Wild West, avec Will Smith, en 2000. Il chante également en duo avec Whitney Houston(Could I Have This Kiss Forever ?).

Anna Kournikova

Pendant la préparation de son opus suivant, il fait la connaissance de la joueuse de tennis Anna Kournikova. Il tombe immédiatement sous le charme de la bimbo russe… qu’il épousera en 2004.

Côté chanson, il supervise lui même la production de son album Escape en 2001. Le bel Ibère ne change rien à ses bonnes habitudes en distillant une belle alchimie de pop, de dance et de guitares andalouses. Succès garanti.

C’est justement avec ses racines qu’Enrique renoue l’année suivante en publiant un disque tout en espagnol, Quizas. Mais sur son album 7, à la fin de l’année 2003, ces sonorités s’effacent quelque peu au profit d’une pop plus dans l’air du temps. Sans doute la production de Jimmy Iovine (U2, Eurythmics, Dire Straits) y est elle pour beaucoup…

zicactu.com

Discographie

Discographie de Enrique Iglesias

Albums

2008 Greatest Hits
2007 Insomniac
2003 7
2002 Quizas
2001 Escape
1999 Enrique
1998 Cosas del amor
1998 Remixes
1997 Greatest Hits
1997 Vivir
1995 Enrique Iglesias (version italienne)
1995 Enrique Iglesias (version espagnole)

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Enrique Iglesias

La première chanson qui fit partie de l’album est la douzième. C’est ironique que ce soit la dernière sur l’album. Elle s’appelle « Don’t You Forget About Me ».

Zicactu: Bonjour Enrique !

Enrique Iglesias : Hi ! Bonjour !

Zicactu: Qu’est-ce que tu peux me dire à propos du titre?

E. I.: Insomniac est un de ces titres qui m’a paru le plus logique pour cet album. La plupart des chansons ont été enregistrées la nuit. J’ai toujours été insomniaque, mais pas seulement pour cet album, pour mes autres albums aussi… Pour une drôle de raison, j’ai toujours principalement écrit la nuit.

Zicactu: C’est une maladie de famille, parce que vous travaillez trop dur?

E. I.: Je ne sais pas si c’est une maladie familiale… Ma mère est insomniaque, donc je crois que ça vient peut-être d’elle…

Zicactu: Tu dis sur la pochette, « c’était un long voyage avec des hauts et des bas », que voulais-tu dire?

E. I.: Il y avait une contradiction quand je faisais cet album… Je savais que je ne voulais pas le sortir avant d’être satisfait à 100%, mais, en même temps, il me tardait de repartir en tournée, parce que je me suis habitué à être sur la route ces douze dernières années… J’étais en train de devenir fou, complètement fou; et puis il y a eu aussi des moments où je croyais avoir fini et puis, au fil des semaines, je me rendais compte que ce n’était pas le cas… Je me souviens parfaitement que, pendant la première année, je m’enregistrais en train de travailler sur l’album pour faire un DVD « making of » qui serait inclus en bonus dans l’album et… il y a quelques jours, je regardais ce film et il y a un moment dans le film où je dis, après un an et deux mois en studio, je dis « J’espère que je vais finir cet album bientôt parce que je suis crevé. Je veux vraiment le finir… ». Si j’avais su à ce moment-là qu’il me restait encore plus d’un an et demi à travailler dessus, je serais devenu fou… Et… C’était un long, long voyage…

Zicactu: Peux-tu nous raconter quel était le tout début de cet album? Etait-ce une chanson, une idée? Tu t’en souviens?

E. I.: La première chanson que j’ai écrite pour cet album? Ou plutôt la première chanson qui fit partie de l’album… La première chanson qui fit partie de l’album est la douzième. C’est ironique que ce soit la dernière sur l’album. Elle s’appelle « Don’t You Forget About Me ». Quand je commence à concevoir un nouvel album, la première chose sur laquelle je me concentre c’est les chansons, plus que la production, les sons en eux-mêmes. Pour moi, je dois dire que, si tu n’as pas la chanson… tu n’as rien.

Zicactu: Peut-on dire que tes thèmes préférés sont l’amour, la passion, l’incompréhension?

E. I.: Oui, je crois que mon thème préféré est l’amour parce que, aussi kitsch que cela peut paraître, c’est la chose à laquelle tout le monde peut s’identifier, sans tenir compte ni de la religion, ni de l’âge, ni de la nationalité, ni de la couleur de la peau. C’est le point commun entre nous. Nous savons tous ce que c’est de tomber amoureux, de se séparer, d’être dans une relation qui marche bien ou d’être dans une relation qui part en vrille.

Zicactu: Pourquoi est-ce que ça t’es si facile d’écrire sur l’amour? C’est le meilleur moyen pour toi d’exprimer ta musique?

E. I.: Ça me vient tout naturellement. C’est drôle, mais je crois que c’est naturel pour la plupart des compositeurs. Si t’écoutes la radio, l’amour, bon ou mauvais, est le thème de 90% de la musique qu’on écoute… Et ça c’est le genre de musique qu’on entend de nos jours…

Zicactu: Est-ce que le choix du single « ping pong song » était évident? C’est le vrai son?

E. I.: Oui, tout à fait… C’est une vraie balle de ping-pong.

Zicactu: Il y a une histoire derrière tout ça, non?

E. I.: Non, pas vraiment une histoire… Ce n’était pas prémédité… Ça n’a pas vraiment de sens profond. C’est juste que le son me plaisait d’un point de vue sonore.

Zicactu: Ce n’est pas une métaphore?

E. I.: Je sais une métaphore pour une relation, des hauts et bas, un ping-pong… Pour vous dire la vérité, non. Je sais que l’on pourrait croire que c’était prémédité, ou planifié, mais non, vraiment pas.

Zicactu: Tu es très bien entouré, avec beaucoup de grands musiciens, producteurs… Peux-tu nous en dire plus? Pourquoi eux?

E. I.: Sur cet album, j’ai eu tellement de temps pour travailler avec tellement de producteurs différents et je voulais travailler avec autant de personnes que possible, juste pour voir, parce qu’on ne sait jamais… Quand on entre en studio, on ne sait jamais avec qui ça va le faire, d’où la chanson va sortir… Je voulais donc essayer de travailler avec autant de personnes que possible pour tester et voir ce qui pouvait arriver…

Zicactu: Peux-tu en nommer quelques-uns ?

E. I.: Oooh. J’ai dû travailler avec, c’est drôle, avec près de trente producteurs sur cet album; évidemment, parmi ces producteurs avec qui j’ai travaillé, certaines chansons que nous avons faites n’ont pas été prises.

Zicactu: Beaucoup d’artistes aujourd’hui ont des liens spéciaux avec certains producteurs branchés, non?

E. I.: Oui… Évidemment, il y a toujours le producteur branché avec qui tout le monde veut travailler. Quand un producteur atteint un certain niveau, c’est évidemment parce qu’il a du talent et il produit des tubes. Cela ne veut pas nécessairement dire qu’ils produiront un tube pour vous ou moi quand je travaille avec eux. Ça dépend. Comme je disais, on ne sait jamais d’où peut sortir la chanson, parce que c’est une combinaison de beaucoup de choses: la chanson doit être bonne, la production doit être juste, et réunir ces deux éléments n’est pas facile, c’est très dur… Les deux éléments doivent se combiner pour que la chanson devienne un tube…

Zicactu: Peux-tu nous donner la recette pour un tube? Une bonne chanson, avec les bons ingrédients?

E. I.: Les bons ingrédients. J’ai toujours dit, plus simple est la chanson, plus dure elle est à écrire… Je crois que les chansons simples sont celles qui sont dures à écrire et à réaliser.

Zicactu: Au sujet de la musique « pop », parce que tu en fais partie, comment est-ce que tu définis « pop music »?

E. I.: Je n’ai rien contre la pop music. « Pop » veut dire populaire, alors faire partie de cette catégorie n’est pas une insulte pour moi.

Zicactu: Crois-tu que ta musique est un genre de métissage…?

E. I.: Un métissage? Hmmm… Oui, souvent on nous catégorise par nos héritages ethniques… Tu sais, c’est drôle, mais parfois, ils te catégorisent même pas en fonction de ta musique. Pour moi, très souvent, on me met dans la catégorie « latin pop »… C’est drôle pour moi, je veux dire, je suis Espagnol, et je serai toujours Espagnol, et l’on peut dire que certaines de mes chansons ont peut-être été plus influencées par la musique espagnole… D’autres non…

Zicactu: À propos de ces deux côtés, ces deux cultures: le côté espagnol et le côté américain. Dirais-tu qu’il y a deux sensibilités? Quand tu chantes en espagnol, ce n’est pas tout à fait la même chose?

E. I.: Ce n’est pas tout à fait le même, mais, pour moi, j’ai vécu en Espagne jusqu’à l’âge de huit ans avant de déménager à Miami. Miami est très « spanglish », très très spanglish. Ça veut dire que les gens de Miami mélangent souvent les deux langues dans la même phrase -ils parlent les deux langues-, alors, pour moi, il n’y a pas une grosse différence quand je passe de l’espagnol à l’anglais ou de l’anglais à l’espagnol en chantant…

Zicactu: Vis-à-vis du public, souvent, les gens mettent leurs propres émotions (?)… Tu sais, tu dis quelque chose de spécifique et, est-ce un phénomène qui te touche?

E. I.: Oui, je crois que, quand les chansons sont… Je crois que l’honnêteté, les gens sont sensibles à l’honnêteté et je crois que, quand tu chantes quelque chose avec de l’émotion, ça fait toute la différence. Tu peux avoir un chanteur qui interprète une chanson parfaitement et un autre qui la chante moins bien que celui que tu viens d’entendre, mais avec plus d’émotion et il paraît plus honnête. Pour moi, ça compte beaucoup plus…

Zicactu: Rétrospectivement, que penses-tu de ton succès?

E. I.: Je crois que je suis arrivé au bon endroit, au bon moment, avec le bon style de musique. Je crois vraiment que c’est arrivé grâce à ça… Il n’y avait pas… Quand j’ai sorti mon premier album en espagnol, il n’y avait pas… Il y avait évidemment une demande pour ce style d’artiste et c’est de la chance, vraiment de la pure chance parce que l’on ne planifie pas ce genre de choses. J’étais passionné et je suis toujours passionné par ce que je fais, mais il faut plus que ça. Je crois honnêtement qu’il faut aussi de la chance. Ensuite, il faut travailler dur pour rester au top et garder sa place. Je ressens que ma carrière a eu des hauts et des bas. Heureusement, j’ai ressenti les bas aussi bien que les hauts!

Zicactu: Alors, Enrique, quoi que tu fasses, il y aura toujours la marque de ton nom de famille. Qu’est-ce que tu crois avoir amené ou ajouté à cet héritage familial?

E. I.: Humm. Qu’est-ce que j’ai amené ou ajouté? J’ai toujours dit que les générations sont supposées s’améliorer. Ceci ne veut pas dire que je suis mieux! Mais tu es supposé apprendre de tes parents, apprendre le bon et le mauvais…

Zicactu: Qu’est-ce que tu as appris du passé et que penses-tu du présent?

E. I.: Je crois que ce que j’ai appris n’était pas tant musical, mais plutôt sur la vie et la musique- comment combiner les deux, et c’est une chose que l’on apprend qu’avec le temps, mais il vaut mieux l’apprendre avant de rentrer dans le show-biz. Si tu peux l’apprendre avant de commencer dans le show-biz, c’est une bonne chose. Autrement, tu seras obligé de l’apprendre pendant que tu es dans le show-biz et ça peut te fragiliser plus facilement J’ai toujours dit que je ne pense pas que les chanteurs et les artistes soient payés pour faire ce qu’ils aiment mais plutôt ils sont payés pour subir les aléas de cette montagne russe psychologique… C’est pas facile psychologiquement… C’est beaucoup.. Et je ne me plains pas, c’est un métier fantastique et je crois que quiconque se retrouve dans cette position a beaucoup de chance mais, ceci étant dit, ce n’est pas un boulot facile psychologiquement à cause de ces hauts et de ces bas. Et si tu peux voir ceci comme, dans mon cas, j’ai vu tout ça de l’intérieur quand j’étais gamin, j’ai tellement appris, le bon, le mauvais. Donc, par conséquent, je crois que j’ai eu un avantage sur ceux qui n’ont pas connu ces choses.

Zicactu: Est-ce que ton père t’as appris les leçons dures qui vont avec la musique, ou les dangers ?

E. I.: Ce n’est pas tellement ce qu’il m’a appris mais plutôt le fait d’être près de lui, de le regarder, de l’espionner et de voir ce qui se passait. Quand tu es un gamin, c’est… tu emmagasines beaucoup de choses et tu apprends. Pas nécessairement en parlant, mais en regardant tu apprends beaucoup. Et je crois que l’une des choses les plus importantes que tu apprends- pour moi, en tout cas- c’est de bien s’entourer. Derrière tout grand artiste, il y a une grande équipe. Il y a toujours des gens biens. Ou même derrière toute personne qui a du succès, il y a une bonne équipe, je crois… Au moment où ton équipe ou ton entourage n’est pas bon, c’est là où tu as un problème. Par « bon », je ne parle pas seulement d’intelligence, mais aussi de gens qui te protègent dans le monde artistique. C’est facile de trouver des gens qui veulent travailler dans ce milieu parce que c’est sexy, mais, ceci étant dit, ce n’est pas facile de trouver des gens qui font vraiment attention à l’artiste, aussi bien au niveau professionnel que personnel.

Zicactu: Pour toi c’est une nouvelle étape parce que, dans tes paroles, tu dis, « il y a un nouvel Enrique ». Qui est-il?

E. I.: Je ne sais pas s’il s’agit d’un « nouvel » Enrique, je sens juste que… Je ne voulais pas tellement dire sur le plan musical, si j’ai dit ça, mais plutôt sur le plan de la vie. Je crois que, avec le temps, et je fais ce métier depuis douze ans, on apprend beaucoup, et, j’essayais surtout de dire que ces douze années sont passées si vite que, par moment, j’ai l’impression de ne pas avoir vraiment apprécié ma position et je ne réalisais pas à quel point j’avais de la chance… Je parle souvent de chance parce que… Et, s’il y a une chose que je veux faire aujourd’hui, c’est pouvoir profiter un peu plus de ces moments, de regarder autour de moi et me dire « tu sais quoi? J’ai vraiment de la chance » et je crois que, en prenant plus de plaisir à faire ce que je fais, ça fera une grande différence dans ma façon de travailler, de faire des interviews, de jouer sur scène et d’écrire des chansons.

Zicactu: Est-ce que c’est un problème pour toi de te regarder tout le temps dans la glace- ça fait partie du boulot?

E. I.: Oui… Je crois que souvent, ce n’est pas une question de vanité, c’est… Tu fais plus attention à toi. Pour moi, la vanité et le soin de soi sont deux choses différentes. Elles peuvent êtres très différentes. Tu fais plus attention à toi parce que tu passes à la télé, tu es sous les projecteurs, les gens prennent des photos… Mais, si tu y penses trop, tu deviens fou… Il arrive un moment dans ta carrière où tu ne dois pas te prendre trop au sérieux, je veux dire, ce n’est que de la musique en fin de compte. Tu n’es pas en train de changer le monde, tu n’es pas un politicien… Ce n’est que de la musique…

Zicactu: Et, avec l’âge, tu chantes de mieux en mieux?

E. I.: Je crois en effet que plus tu vieillis, plus tu apprends. Je me sens mieux, par exemple, dans mon cas, je crois que mes tournées du début étaient… merdiques, tu comprends? Je me sens beaucoup plus à l’aise sur scène aujourd’hui: je chante mieux, je me sens mieux… Ça ne veut pas nécessairement dire que… Il y a une autre chose qui vient avec ce métier c’est que, quand tu le fais depuis trop longtemps, tu deviens trop à l’aise… Et ceci n’est pas une bonne chose. Il faut garder la fraîcheur…

Zicactu: Vis-à-vis du public français. Est-ce que tu cours toujours après le gros succès ici en France? C’est quelque chose de particulier à la France, Non?

E. I.: Oui… La France, pour moi, a toujours été… Tu sais, la France est un pays difficile à percer musicalement parlant. C’est un pays très difficile. Je crois aussi que le public français est un des publics les plus fidèles qui existent, et tu le vois chaque fois que tu écoutes la radio ou que tu allumes la télé et que tu vois des artistes qui sont là depuis cent ans et qui continuent à réussir, à vendre des albums, et ils ont un énorme public, et je crois que ceci démontre bien la fidélité du public français… Mais, en même temps, je crois que tout le monde sait… Tous les gens dans le métier de la musique avec qui tu parles, tu leur dis… « ahh… Oui, c’était un énorme tube, tu sais, mais pas en France… Ahhh… La France prend toujours du temps… La France prend du temps… » Tout le monde dans la musique et dans les maisons de disques sait que la France prend du temps. Mais ils savent aussi que, une fois que le marché français est percé, et que tu réussis bien en France- je veux dire, vraiment très bien- et bien c’est gagné…

Zicactu: Qui est le vrai Enrique Iglesias?

E. I.: La vraie définition de…? Je suis juste un mec normal avec un sens de l’humour bourrin et je m’entends avec tout le monde… Je suis juste… Je ne sais pas… Appelez-moi ce que vous voulez, mais je ne me considère pas… Tout sauf « latin lover »… Mais si vous voulez m’appeler « latin lover », je m’en fous, c’est pas grave…

Zicactu: Gracias !

E. I.: Gracias – Merci !

Propos recueillis par Thierry Bauman

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